Video Hits

OUI, il pareil, mais vu qu'ils changent souvent d'avis comme de chemises

haaza les chemise dde Matt sont classes *bave*


xd le truc pas dans le sujet ....

MDR, mais carrément

ne pas oublier ke je suis un boulet !!


le tien en plus

Merci pour le lien! Rien compris non plus! Merci d'avance pour la traduction!
Pas de nouvelle du DVD Live dans l'interview??

merci pour l'interview c'était sympa !

Merci pour cette inter et vivement la trad ^^

Marine62 a écrit:

Et j'adore quand le journaliste lui demande d'où vient sa fascination pour les objets rouges comme sa guitare, ses cheveux et tout et lui : "Oh it's a... I think it's a... It's my favourite colour..." Il est pas sur hein

aaah il est comment moi lol j'ai aussi un problème avec le rouge xD

bref sinon merci pour cette itw

Non pas du DVD, sorry ^^

EDIT POST : j'ai commencé la Trad', en vous fessant un Résumé.
DONC je n'ai pas encore terminé, mais je vous met ce que j'ai déjà fais.
Là, je n'ai pas le temps de Terminé, j'ai du Taff en retard à faire ...

Déjà dès le départ, après le délire sur LE DOCTEUR BELLAMY, l’Interviewer dit que l’Australie AIME Muse, biensur le BIG DAY ^^

Ensuite, ils parlent de RESISTANCE comme d’Habitude, et que le prochain Album sera carrément différent.

Excellent, comme dit le Mec



NEXT NEXT NEXT SOOOOOOOOOOON

Merci beaucoup pour l'interview, attends la suite de la trad avec impatiente

Petite Suite
(j'ai vraiment pas le temps de tout faire d'un coup, mais je continu un peu pour vous)

Dans l'Interview, le mec lui parle des Boules de Noël Muse sur le Merch
Matthew est pas au courant et trouve ça ... bon marché


I've noticed you've got Muse baubles for Christmas trees for sale on your website.

Really ?

Yeah

Blimey, Oh God that's ... that's cheap.

Mais mdr, ils savent même pas ce qu'ils vendent sur le shop, excellent xD

Transcrip' de https://erato1.wordpress.com/


Dylan: “You play your music like you’re wringing every last drop of music out of your tools…”

Matt: (giggles)

Dylan: “… nothing else is left in the instruments …”

Matt: (giggles and covers his face)

Dylan: “… when you are finished with them, they are like …”

Matt: (shifts uncomfortably, laughs)

Dylan: “… empty and listless, old, deflated footballs.” (makes giant footballs hand gestures)

Matt: (lost the plot by now, mind deeply in the gutter) “Wh … What?”

Dylan: “The instruments.”

Matt: “Ah, the instruments …” (pinches the bridge of his nose, hides behind his own hand)

Dylan: “Do you feel like you are the master of your craft or is there more to explore and to learn?” (finally notices giggling Matt) “It’s not funny !”

Mdrrr mais c'est quoi ces questions le pauvre il a rien pigé xDDDDDDD merci pour la suite ^^

Chibi a écrit:

Mais mdr, ils savent même pas ce qu'ils vendent sur le shop, excellent xD

+1 merci pour la suite!

Et ils savent pas qu'on se ruine surtout x)
Faudrait leurs envoyé nos facture avec un ptit message " On économise pas quand on est fan de Muse! "

Sorry encore de ne pas avoir Trad' entièrement l'Interview, mais je n'avais pas le Temps pour faire cela ... entre le Boulot et tout ....

DONC, voici l'Interview trad' en entier par http://muse-actu.fr/

Dylan : Bonjour ! Bienvenue dans Video Hits ! Et bonjour au docteur Matthew James Bellamy, bienvenue dans Video Hits !
Matt : Bonjour, ravi de vous rencontrer !

Dylan : Ravi de vous rencontrer également !
Matt : Docteur…

Dylan : Et bien vous êtes docteur n’est-ce pas ?
Matt : Sur le papier oui, on nous a donné un doctorat, je ne pense pas que je le mérite, mais bon… Je peux clamer le titre !

Dylan : Mon dieu, ça doit aider à attirer les filles. A l’époque…
Matt : [rires]

Dylan : Deux fois en Australie en un an, vous nous aimez. Nous vous aimons aussi. C’est bon de vous voir à nouveau en Australie !
Matt : Oh et bien, merci, on adore venir ici.

Dylan : Quand vous étiez ici pour le Big Day Out nous avions parlé à Dom, le batteur, à propos du fait que vous ne vouliez pas faire de show en plus à ce moment là pour le Big Day Out parce que vous vouliez revenir…
Matt : Et faire ça oui.

Dylan : …. et faire quelque chose de spécial. Et vous voilà, en train de faire quelque chose de vraiment spécial. Pouvez vous nous parlez des shows, des lives que vous faites ?
Matt : Et bien en fait c’est completement different du Big Day Out, le Big Day Out c’était des concerts de festival, donc on avait juste des écrans derrière nous, très simples, et quelques autres trucs, mais pour cette tournée il y a un décor beaucoup plus élaboré avec des plate-forme mouvantes et il y a des rideaux qui tombent au début… C’est beaucoup plus axé autour du concept de l’album, qui est influencé par…. [rires interviewer]… 1984, quoi ? [rires]… influencé par 1984 de George Orwell, c’est l’idée que nous soyons coincés dans ces sortes de ministères qui sont décrit comme étant des pyramides dans le livre, mais on a finit par faire plutôt des immeubles. Et dans ces trois…on les appelle les ministères, mais ils ressemblent à trois buildings, on est à l’intérieur et l’idée était qu’au cours du concert on s’échappe de là, qu’on sorte. Et la façon dont se passe, en fait c’est juste l’ascenseur qui descend.

Dylan : Oui. Si vous avez vu le clip de Resistance, que vous verrez bientôt ici sur Video Hits, vous saurez de quoi nous parlons, donc si vous ne pouvez pas assister au concert pour cette fois, vous n’avez qu’à regarder le clip !
Matt : [rires]

Dylan : Vous aimez jouez les nouvelles chansons en live ?
Matt : Oui, oui, ça a été super, certaines chansons sont assez différentes de tout ce qu’on a pu faire avant, particulièrement des chansons comme Undisclosed Desires. C’est une chanson éléctronique, c’est la première fois que Dom joue de la batterie électronique, et je ne joue ni piano ni guitare, je joue une sorte de… des samples electroniques. Donc c’est une approche completement différente, et j’aime assez cela, peut être que dans le prochain album on voudra faire plus de ces choses là ! C’est un challenge.

Dylan : Excellent ! Qu’est-ce que vous aimez le plus dans le fait de jouer votre propre musique avec vos plus proches amis devant des foules massives de fans en folie ?
Matt : Le meilleur là-dedans ? Vous savez, le meilleur c’est ce que vous avez dit, parce qu’ils sont des amis proches depuis l’école. Il y a ce truc, quand on se regarde on peut se rappeler… je me souviens de Dom essayant d’attirer l’attention de filles quand il avait quinze ans, Chris se retrouvant dans des… bagarres [rires] C’était, oui, c’était un dur à cuire. Mais oui je me rappelle d’eux au temps où ils étaient à l’école. Il y a quelque chose d’amusant dans le fait de nous regarder et de se souvenir du temps où on étaient ensemble dans une salle de classe, et ensuite de nous voir devant une grande foule. Ce contraste, c’est hilarant.

Dylan : Oui c’est charmant. Vos shows semblent devenir de plus en plus massifs, j’ai d’ailleurs lu une review de votre concert à Wembley Stadium, écrite par un proche de Biffy Clyro, votre première partie, ils disent que vous êtes peut être meilleur pour les concerts en stade que U2. Votre pensée ?
Matt : Je ne suis pas d’accord avec ça, je ne sais pas comment expliquer ça, ce qui est sur c’est qu’ils sont là depuis plus longtemps, ils ont un plus grand catalogue dans lequel piocher…

Dylan : Vous pensez qu’ils sont vieux.
Matt : Ah, dans un sens positif ! Ils ont vieilli plutôt gracieusement je dirais…

Dylan : En effet !
Matt : …. certains groupes vieillissent un peu… disgracieusement oui. Mais je pense que U2 s’en est très bien sorti

Dylan : Vous jouez avec eux prochainement ?
Matt : Oui en Amérique du sud, l’année prochaine, avril, mars et avril oui.

Dylan : Très excitant ! Et ils font votre première partie bien sur.
Matt : Oui bien sur [rires]

Dylan : Absolument. Avez vous eu des moments à la Spinal Tap dans votre carrière avec le groupe ? Est-ce qu’une fois la capsule ne s’est pas ouverte ?
Matt : On en a eu des quantités des moments comme ça ! Sur cette tournée, ce qu’on joue en ce moment en Australie, on l’a déjà fait en Europe et en Amérique, on a eu beaucoup de problèmes mais un des pires a été à Brisbane l’autre jour. Mes oreillettes ont completement cessé de fonctionner, je n’entendais plus rien. J’étais à quatre mètres au dessus du sol, donc je ne pouvais pas descendre, j’essayais mais je ne pouvais pas descendre, donc on a du amener un escabeau [rires] et c’était… ce n’était vraiment pas cool !

Dylan : Le magnifique et grandiose escabeau !
Matt : Oui, exactement, et une autre fois, quand les rideaux tombent, l’un d’eux est resté coincé sur ma tête, et… en fait le vrai moment à la Spinal Tap était quand… on avait joué Uprising en entière, et le rideau de Chris ne tombait pas, il est tombé à la fin de la chanson. C’est d’ailleurs ce qui arrive dans Spinal Tap, le bassiste est révelé à la fin.

Dylan : Parfait [rires], c’est exactement ce que je voulais savoir !
Matt : [rires]

Dylan : Comment décririez vous le concert ultime ? Y avez vous déjà pensé ?
Matt : [continue de rire, pointe l'interviewer du doigt]

Dylan : Qu’est-ce qui est drôle, pourquoi riez-vous ?
Matt : C’est vous, vous êtes marrant !

Dylan : Et bien vous parlez très vite, on va devoir vous ralentir sur l’enregistrement… Le concert ultime, y avez vous pensé, avez vous discuté de la possibilité de jouer sur une pyramide ou dans l’espace ?
Matt : Oui on a eu des discussions à propos de l’espace. Je pensais approcher Richard Brandson pour essayer de jouer sur son… le truc qu’il envoie là-bas. Mais il faudrait qu’on réduise notre matériel, on a trop de matériel… il faudrait tout mettre dans des capsules ou des trucs comme ça, mais je ne sais pas, je crois que ça pourrait être possible, et je crois, vous savez, que ça pourrait être possible de notre vivant, donc j’adorerais jouer dans l’espace.

Dylan : Espérons-le ! Richard, si vous nous regardez, c’est une opportunité ! Twitter, twitter !
Vous jouez votre musique comme si vous essoriez vos outils jusqu’à la dernière goutte de musique… [rires de Matt] Il ne reste plus rien dans les instruments quand vous en avez fini avec eux, ils sont… vide et avachi, de vieux ballons de football dégonflés…
Matt : Qui ça ?

Dylan : Les instruments !
Matt : Ah les instruments oui…

Dylan : Avez vous le sentiment d’être un maître de votre art ou pensez vous qu’il y ait plus à explorer, plus à apprendre dans votre vie ?
Matt : ……

Dylan : [rires] Ce n’est pas drôle ! C’est serieux !
Matt : J’essayais de comprendre la question… Y a-t-il d’autres choses à expérimenter avec les instruments ?

Dylan : Etes vous maître de votre art ou… ?
Matt : Non, non non, je crois qu’ils disent qu’on ne devient pas maître avant d’avoir fait 10 000 heures, c’est ça ?

Dylan : Je ne sais pas
Matt : C’est ce que j’ai entendu, ils ont étudié scientifiquement ce qu’il faut pour devenir maître de son art, et 10 000 heures sont requises

Dylan : Vous êtes surement proches de ça !
Matt : Je ne crois pas qu’on l’ai fait, je crois qu’on en est à environ 3000 ou 4000.

Dylan : Ok, bientôt, de votre vivant vous deviendrez un maître !
Matt : Il faudra encore du temps avant que l’on devienne maître.

Dylan : Vous jouez magnifiquement de la guitare, vous jouez magnifiquement du piano, quelques autres jouets aussi, un peu de mandoline, un peu de keytar comme vous l’avez mentionné, d’autres instruments marrant que vous avez essayé ?
Matt : Euh, j’aime le vibrophone, mais je n’ai jamais vraiment trouvé l’opportunité de l’incorporer dans une chanson.

Dylan : En avez vous un ?
Matt : Non, non mais j’en ai emprunté un quelques fois…. Les instruments… J’aime assez… comme ce groupe folk, comment ils s’appellent… comme Mumford, j’aime ce qu’ils font avec des banjos !

Dylan : [rires] Avez vous essayé un banjo, pouvez vous en jouer ?
Matt : Mon père avait un banjo quand j’étais plus jeune, et je l’ai essayé quelques fois.

Dylan : [bruits de banjo] Resistance ! J’ai ici ma propre copie dédicacée, la votre ne ressemble peut être pas à ça ! Sorti en 2009, cinquième album studio, fantastique et épique, bien joué ! Enregistré en Italie, où Video Hits est d’ailleurs venu vous rendre visite, au Lac de Côme, et on a fait un show spécial…
Matt : Quoi, vous vous êtes venu ?

Dylan : Oh je ne suis pas venu, non. Je n’étais pas invité.
Matt : Oh euh oui euh, la société est venue.

Dylan : Oui. Des gens sont venu. Faustina [Agolley, presentatrice de VideoHits, ndlt]est venue.
Matt : Les employés sont venus.

Dylan : C’est ça. Hum, pourquoi l’Italie ? Parce que vous le pouvez.
Matt : Pourquoi j’étais en Italie ?

Dylan : Pourquoi avez vous enregistré en Italie ?
Matt : A cette époque j’avais une petite amie italienne donc je vivais là-bas, pour cette raison. Et parce que c’est un endroit charmant, c’est différent… Chaque album que l’on a fait, on l’a fait à un endroit différent, donc cette fois ça semblait plaisant de faire ça en Italie.

Dylan : Et vous l’avez produit vous même aussi, comment ça s’est passé ?
Matt : Oui, on a essayé. C’était assez stressant, je ne le referai pas

Dylan : [rires] Vraiment ?
Matt : Oui, je ne le referai pas. Vous savez, je pense que c’est mieux quand on a un autre point de vue sur les choses. Ce que je voulais dire c’est que c’était une expérience instructive, j’ai simplement appris à ne pas le refaire. C’est ce que j’en ai retenu de plus important.

Dylan : Oh ok…
Matt : Non je pense que l’album est très bien, mais ce que je veux dire c’est que… on se retrouve à s’analyser beaucoup plus quand on s’auto-produit, il est bon d’avoir quelqu’un d’autre pour faire l’analyse.

Dylan : Oui le regard exterieur. Il y a une influence classique très évidente sur cet album, vous avez même casé un peu de Chopin dessus, sur United States of Eurasia, dans la partie Collateral Damage, très bon jeu de piano d’ailleurs ! D’autres compositeurs classiques qui vous aient influencé ?
Matt : Peut-être… evidemment il faut citer Rachmaninov, euh.. Listz, Franz Liszt est très bien, je pense que c’était un très bon pianiste, un petit peu Beethoven je dirais, mais je ne suis pas vraiment… je ne connais pas très bien ce qu’il a fait. Mais de ce que j’ai entendu, il avait quelque chose.

Dylan : Et Wagner ?
Matt : Wagner, j’adore Wagner ! Absolument oui. Exogenesis Partie 1 fait très Wagner. Wagneresque.

Dylan : Exactement. Et j’ai lu quelque part que la musique locale en Italie a un petit peu influencé l’album aussi.
Matt : Sans doute sur l’album précedent, il y a eu un peu d’influence sur celui-là… on a fait une chanson appelée City of Delusion sur l’album avant celui-ci, et elle a été un petit peu influencée par de la musique italienne que j’avais entendu, je ne rappelle plus du nom, mais celle que j’ai entendu jouer était… napolitaines, une sorte de folk napolitain, avec des sons de trompette plutôt cool… Mais bien evidemment Morricone, bien sur Knights of Cydonia sonne très Enio Morricone, vous savez, un grand compositeur italien.

Dylan : J’aime beaucoup le fait que vous ayez tiré des influences de lieux où les autres groupes de rock ne prendrait peut être pas la peine d’investiguer.
Matt : Oui, oui, l’histoire de la musique est un sujet intéressant.

Dylan : Correct. Cet album contient les immenses singles Uprising, Resistance, Undisclosed Desires, nous allons y jeter un coup d’oeil dans un instant. Si vous ne les avez pas entendu, vous vivez sous un rocher depuis l’année dernière car ce sont des énormes hits. Tellement énormes, que ma chorale masculine fait une version a cappella de Uprising, ce qui vous interesse beaucoup bien sur ! Avez vous entendu beaucoup de versions a cappella de votre musique ?
Matt : Non, je tacherais d’écouter ça ! Ou est-ce que je peux entendre ça ?

Dylan : Vous pouvez l’entendre dans une minute. Sur mon iPod. [rires] Le reste de l’album est fantastique également, je suis clairement un fan de United States of Eurasia, avec le petit bout de Chopin. Toutes les chansons sont énormes dessus, et puis on arrive à la partie Exogenesis, qui est massive. Comment c’était de mettre tout ça en place ?
Matt : C’était marrant, c’est simplement des morceaux de pianos que je joue depuis des années, et j’ai pensé à les mettre tous ensemble pour donner quelque chose qui ressemble à un long morceau… J’ai divisé ça en trois parties, je lui ai donné un nom et tout le monde y a cru !

Dylan : Vous avez détruit la magie.
Matt : [rires]

Dylan : [rires] Il plaisante, je suis sur. Il y a un aspect grandiose dans votre musique… est-ce que ça sonnait bien ce que j’ai dit ? Je ne sais pas. C’est assez theatral ce coté grandiose, cette grandiosité. Avez vous déjà pensé à écrire un morceau de musique pour le theatre ou peut être un opera, ou un opéra rock ?
Matt : Euh, je ne serais pas contre, mais il faut que je pense… je dois penser à un sujet, une bonne histoire à raconter, vous voyez, je ne suis pas encore tombé sur une histoire pour laquelle on voudrait faire ça, mais si je trouve une super histoire, pour laquelle on peut écrire de la musique, et mettre en place des sortes de… trucs théatraux, je crois que ce serait bien !

Dylan : L’histoire d’un groupe d’hommes a cappella, ayant essayé de reprendre des chansons de Muse.
Matt : [rires] Hum, je suis pas sur d’aimer…

Dylan : Ce n’est pas terrible n’est-ce pas. Haha ! Une fan voudrait savoir, qui m’a parlé à propos de… quand j’ai dis… elle voudrait savoir d’où vient votre fascination pour le rouge ? Vêtements rouges, guitare rouge, cheveux rouges… le rouge ?
Matt : Oh je crois que… c’est ma couleur préférée.

Dylan : Merci, et @M-Galafa voulait vous dire bonjour, par twitter, et c’est son anniversaire aujourd’hui.
Matt :…….. Bonjour. Comment ça va ? …… Bon anniversaire !

Dylan : Oui ! Merci. Des plans pour Noël ?
Matt : Noël, euh je vais probablement aller faire du ski quelque part, ou quelque chose comme ça, pour essayer d’être dans la neige….

Dylan : Où allez vous skier ?
Matt : …. quelque chose comme ça, et voilà, peu importe.

Dylan : J’ai remarqué que vous aviez des boules de Noël Muse pour les sapins sur votre site [rires]
Matt : [rires] Vraiment ?

Dylan : Oui !
Matt : Oh bon sang quelle blague !

Dylan : Je vais m’en acheter quelques unes. Etes vous quelqu’un de festif, aimez vous la saison des fêtes ?
Matt : Je suis pas…. Je ne suis pas un très grand fan. Mais vous savez, je fais avec. Je ne vais pas m’en plaindre. Je suis le mouvement.

Dylan : Il est temps de faire une requête. Allez-y.
Matt : Je voudrais que vous passiez une vidéo, de euh…. désolé euh… je vais y arriver, Primus ! Primus, Tommy the Cat car il y a Tom Waits. C’est mon bassiste préféré et mon chanteur préféré de tous les temps dans une chanson.

Dylan : Quel choix fantastique, bien joué. Et allez vous revenir en Australie bientôt ? Oui.
Matt : Probablement pas avant… on a décidé qu’on ne tournerait pas avant d’avoir fait un nouvel album, ce qui devrait se faire en 2012 peut être, par là.

Dylan : C’est à ce moment qu’un nouvel album va sortir ?
Matt : On l’espère. Je ne sais pas, je veux dire… en se basant sur le passé, les intervalles et combien de temps il faut pour écrire un album…

Dylan : Avez vous déjà écrit quelque chose ?
Matt : Oui j’ai écrit quelques trucs.

Dylan : Vous écrivez sur la route ?
Matt : Oui par petits bouts. Mais les choses écrites sur la route ne finissent en général jamais sur un album. C’est toujours… ils sonnent pareil.

Dylan : Et bien vous avez une grande inspiration pour aller écrire un opéra rock maintenant, donc en avant et soyez conquérant, Dr Matt Bellamy de Muse, merci beaucoup d’avoir discuté avec nous aujourd’hui.
Matt : Cool ! Merci beaucoup, cheers !

Dylan : Charmant !

yeah super interview !

merci !

Le coup des boules de noël me fais mourir de rire !!!!!

Merci beaucoup pour cette trad MO

Merci beaucoup !!
haahha le secret de Exogenesis est révélé , Matt a rien inventer du tout, sans blague
bien marrant cette itw

D'ailleurs, on entend "piano thing" dans "exo-genesis" ! ^^

Merci beaucoup pour la traduction!! Elle est pas mal cet interview!
Par contre il dit qu'ils ne tourneraient pas avant le prochain album (pour 2012 probablement) alors pour le Main Square je ne sais pas trop quoi en penser....

J'pense qu'il parler plus de leurs concert que des festivals !
Enfin j'espère !^^

Oui peut-être... Qui vivra verra...